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Madness is a reflection of thought [Beren]

Navi Usraellan
— imperials —
In the end, the shadow is all you have left.
Navi Usraellan
Pronoms : She.
Transmissions : 219
Faceclaim + crédits : Alicia Vikander ⚶⚶⚶⚶ @mrs jay (Ava') ◈◈ acegif (Holovid) ◈◈ lyveesaivin & Nathie (Codage RP)
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Madness is a reflection of thought [Beren] Jol8
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Warnings : Violences, Sang, Sexe, Luxure, Meurtres, Assassinats, Exécution, Guerre, Endoctrinement, Sadisme, Esclavagisme, Tortures, Vulgarités, Folie, etc.
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15 AFE - mois 4 ~ Mondes du Noyau - Secteur Corusca - Planète Coruscant
SOUNDTRACKTENUE

Tu ris… Malsain et jouissif. Tu aimes te jouer de tes cibles. Bien que tu ne sois plus un purge, il t’arrive encore d’apporter ton aide au Bureau de Sécurité Impériale. Beaucoup te jugent novice dans l’art du combat mais c’est loin d’être vrai. Tu es novice dans l’usage de la Force et pourtant, tu progresses à chacune des missions qu’on te confie. Bien que Sith, tu as gardé ton studio sur la capitale, ton refuge, ton point de repère lorsque tu t’amuses sur la Capitale. Couverte de sang, ta cible n’est plus qu’un lointain souvenir. Elle gît, là, sous tes yeux, vide de tout souffle, de toute vie. Vie que tu venais de lui ôter. Les bas fonds ne te manquent pas et ne te manqueront jamais. Ce sont tous des étrangers, des esclaves qui n’ont aucun intérêt pour toi. Tu passes toujours à côté d’eux sans prêter attention aux regards qu’ils te jettent. La lame de ton sabre s’éteint du côté que tu as allumé, rejoignant l’ombre avec sa jumelle. Un vrombissement devenu aussi sourd que la nuit étoilée. Tu mets ta capuche et tu disparais sans laisser de trace, même ce corps n’est plus. Tu marches dans des lieux interdits, des lieux publics vide de têtes à abattre. Tu attrapes ton com et tu sécurises ton appel. Un appel simple, direct, sans bavure. Pas d’image, juste un son, celui de ta voix cristalline qui transmet la réalité des choses. Pour ceux qui écoutent, cette langue est inconnue et tu es presque sûre que ce n’est pas dans les bas fonds de la capitale que quelqu’un comprendra le Sy Bisti, la langue diplomatique des Chiss, langue que ton père t’a appris en étant plus jeune et qui ne te sert presque qu’exclusivement à ça.

« — Xishu azwane ngikotholu ! »
(L’exilé appartient au secret)


Tu annonçais simplement à ton contact que le travail était terminé. Le contrat était rempli et tu n’avais plus qu’à rejoindre la Haute-Coruscant. Tu éteins le com provisoire avant de le détruire en l’écrasant. Aucune possibilité de retracer l’appel. Ton holocom officiel était resté dans ton havre de paix, ton petit studio quelque part sur la Capitale. Tu ne révélais jamais ce lieu et la seule personne au courant était ton maître. Tu devais répondre s’il en avait besoin. Capuche sur la tête, cape volant au rythme de tes pas, aussi léger que possible. Tu observes, tu laisses la Force te guider afin de regagner ton chez-toi. Le sang visible ne te fait pas peur et tu sais que ton bâton statique va devoir être nettoyer et désinfecter. Silencieuse, tu avances sans te cacher jusqu’à l’immeuble où tu es censée vivre.

Tu passes la porte, tu ôtes ta longue cape et tu lâches un soupire. Tu retires ton bâton statique de ton dos et tu le déposes quelque part où il ne tachera pas ton mur. C’est alors qu’un droïde se manifeste te signalant la présence de ton maître à l’entrée. Tu montres un sourire en coin et tu tournes la tête vers lui.

« — Laisse-le entrer ! »

Le droïde s’éloigne, laissant l’accès à Beren. Le studio n’a rien de grand, mais le droïde est surtout là pour s’occuper des tâches ménagères et de la gestion du studio lorsque tu es absente. C’est-à-dire très souvent. Tu finis par attraper ton bâton statique et tu te mets à nettoyer avant de tourner le regard vers les pas lourds, audibles qui se dirige vers ta pièce principale. Bien que tu portes des taches de sang, tu finis par tout déposer avant de t’approcher de la forte carrure que représente ton maître. Puis, tu viens t’agenouiller devant lui, tout en baissant la tête. Il est ton maître, tu lui dois obéissance absolue.

« — Maître ! »

Tu savais qu’il était souvent occupé et qu’il était bien souvent absent. Alors, tu te débrouilles toujours pour t’occuper. Aujourd’hui, tu es sur Coruscant, mais maintenant que ta mission pour le BSI est terminée, tu avais l’intention de prendre une navette pour Korriban dès demain. Les Archives te manquent un peu et ce n’est pas un secret. Tu préfères l’ambiance calme des Archives Sith à l’ambiance bruyante de la salle de torture ou d’entraînement du temple. Tu restes à genou, tête baissée. Sa présence n’est pas due au hasard et tu n’es pas du genre à croire au hasard. S’il te fait signe, alors tu te redresses.

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Beren Roscore
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Beren Roscore
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La porte du turbolift glisse lentement devant lui. Le regard fixé sur l'immensité de la ville-planète qui s'étend sous ses yeux, Beren lui tourne bientôt le dos pour s'enfoncer dans le bâtiment. Il ne prend pas la peine de s'arrêter devant le droïde d'accueil qui paraît l'attendre là, comme il accueillerait n'importe quel visiteur. Beren poursuit son chemin, sans décrocher un mot. Autant ne pas perdre de temps en vaines paroles. Alors il s'en va, droit devant lui, dans les méandres des couloirs. Et laisse derrière lui le droïde penaud. Beren connaît le chemin, ce n'est pas sa première visite, ce ne sera certainement pas sa dernière. Encore qu'il préférerait avoir à éviter de se déplacer pour son apprentie. Mais il faut parfois savoir s'effacer et rester discret. Autant que faire se peut.

Un autre droïde se présente devant lui alors qu'il parvient à la porte de l'appartement. Cette fois, Beren laisse le droïde informer de sa présence, sans pour autant prendre la peine d'attendre son retour sur le pas de la porte. Il lui emboîte le pas, et pénètre dans l'appartement. Le droïde revient rapidement le chercher et, de son pas lourd, Beren rejoint son apprentie. Aussitôt, elle s'agenouille devant lui. Il marque un temps, la dominant de toute sa hauteur. Puis, d'un rapide geste de la main, il lui intime de se relever, avant de passer nonchalamment à côté d'elle pour s'en aller se planter devant la baie vitrée. Et perdre à nouveau son regard sur la ville à perte de vue.

— Je suppose que tu as rempli ta mission, Pyrax, lâche-t-il simplement de sa voix étouffée et métallique.

Bien qu'il n'était pas le commanditaire de la mission, Beren savait tout des activités de son élève. Les traces de sang ne laissent guère de doute quant à l'issue de la confrontation. Même si Beren aurait aimé que son apprentie ne s'en tire pas à si bon compte. Mais il savait cette mission largement à sa portée, ses qualités trop importantes pour qu'elle s'en sorte sans dommages.

— Dommage… murmure-t-il pour lui-même. Puis il se retourne vers Navi. Il serait plus utile que le Bureau t'affecte à des tâches plus… appropriées à tes talents. T'envoyer pourchasser la petite vermine de Coruscant ne t'apportera rien, sinon te bercer d'illusions sur ton pouvoir. Mais tu n'es rien sans souffrance, Pyrax, rien.

Sans bouger, Beren lui envoie une série de petites décharges d'énergie électrique. Des éclairs invisibles, mais qui clouent son apprentie sur place, incapable de répondre pendant quelques instants.

— Et ceci pour ne pas l'oublier.



@navi usraellan

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À genou… Tu es risible, tu es petite, tu es fragile. Il te domine depuis toujours et cela ne date pas de ton arrivée dans l’Ordre Sith ou même lorsqu’il t’a pris sous son aile, bien avant que tu deviennes son apprentie. Tu le connais depuis bien plus longtemps, depuis que tu es devenue Purgetrooper, depuis l’époque où tu te cachais derrière une armure solide et un casque aussi noir que la voie que tu as choisie d’embrasser, de suivre, de maîtriser. À genou, tu ressens son aura qui t’écrase sans cesse, cette aura que tu connais depuis si longtemps, que tu ressens depuis toutes ses années. Cette même aura qui te feras trembler durant de longues années, encore. Quoi que tu dises, il est ton maître et il a le droit de vie ou de mort sur toi. Quoi que tu fasses, il te sera toujours supérieur. Tu le sais, il le sait. Tu gardes la tête baissée, tu lui dois obéissance, tu lui dois tout. Même s’il n’a jamais fait attention à toi durant ta carrière de purge, il est tout de même à tes côtés pour te montrer la voie, même si tu l’empruntes seule. Il est toujours là dans ton ombre, à lire en toi comme dans un livre ouvert, à savoir tes moindres pas, à perturber tes moindres sens pour t’obliger à rester sur tes gardes en permanence. La douleur, vectrice inséparable du côté obscur, tu la subis en silence sous le regard inquisiteur, sous l’air sadique de ton maître que tu ne vois pas. Lui seul connaît le chemin qui mènera à cette libération, à cette délivrance si chère au Code Sith. Ce code que tu connais par cœur, que tu récites régulièrement comme une prêtresse de la mort implorant la guerre, comme un esprit assoiffé de sang et de chaire.

Mais tu n’es rien de plus qu’un amas de poussières qui doit grandir en utilisant la souffrance, la douleur comme source d’énergie, ou de malheur pour d’autres. La folie comme guide vers tes objectifs. Mais tu te mues dans ton silence, acceptant ta position d’apprentie, acceptant ta soumission devant celui qui te domine, te donne des ordres. Tu patientes silencieuse, tu écoutes calmement, tu ressens à travers la pièce. Ce temps que tu trouvais si long, si lourd se termine et tu vois son rapide signe. Luttant contre son aura imposante, tu te redresses alors qu’il passe à côté de toi. Ton regard le suit, neutre et il termine sa route prés de la baie vitrée. Tu fermes les yeux quelques secondes, inspirant de l’air et expirant l’air toxique, conséquence d’une réaction en chaîne visant à te sentir encore plus vivante que tu ne l’es. Sensation éphémère qui n’a pas d’intérêt.

« — Oui, Maître ! »

Tu ne pouvais décemment pas lui annoncer que tu avais échoué. Pas pour une mission aussi inappropriée. Mais tu as accepté de la faire, tu es toujours ce soldat à qui on peut donner des ordres. Ton passif de purge ne peut échapper à celui qui te forme, à celui qui tient ta vie entre ses mais. Car tu sais qu’il a le droit de vie ou de mort sur le grain de poussières que tu es.  Depuis des années, tu le vois avec son respirateur et cela fait longtemps que tu n’as plus peur de cet outil et l’idée d’en avoir un ne te viendrait même pas à l’esprit, ni même de t’en servir contre lui. Tu n’oserais jamais. C’est ce que tu te dis aujourd’hui. Ton regard ne se détache pas de l’imposante stature se trouvant devant la baie vitrée, cette même baie qui montrait Coruscant, la belle dans toute sa splendeur. Ce n’était pas quelque chose de grand, mais cela te suffit amplement. Tu es seule et tu n’as pas besoin de plus. Tu apprécies pouvoir revenir ici pour réfléchir, pour retrouver ton chemin lorsque tu as besoin. Mais tu sais aussi qu’il saura te retrouver. Main dans le dos, à la manière militaire, tu es en « repos ». Visiblement, c’est encore beaucoup trop ancrée dans ta mémoire, dans tes muscles pour être oublier, pour être modifier. Les vieux réflexes ne disparaissent jamais totalement. Il murmure quelque chose que tu ne comprends pas avant de se tourner vers toi. Ton regard se pose sur lui, sur sa carrure et son respirateur. Tu n’oses pas lever les yeux plus haut, attitude typiquement militaire, ce qui t’a permis de survivre, ce qui t’a permis de devenir ce que tu es. Le commandant, le maître et l’officier supérieur te seront toujours dominant. Maintenant, tu peux y ajouter sa majesté l’Empereur et son bras droit, Dark Vador. Alors que tu étais encore purge, il était surnommé la boite de conserve toute noire, mais tu n’as jamais eu l’envie de le surnommer ainsi. Encore plus aujourd’hui. Il t’a permis de rejoindre les Sith, d’apprendre à maîtriser ce qu’on t’avait interdit dès lors que tu as su. Vador t’a permis de devenir encore meilleure… Rien ni personne ne changera cette réalité. Sa voix résonne, tu écoutes, tu te montres attentive, car il n’aime pas répéter. Ce n’est pas un perroquet.

Il te rappelle à l’ordre, il te rappelle que tu n’es rien sans souffrance. Cela fait trois ans qu’il te le rabâche et pourtant, tu as l’horrible impression que cela ne veut pas rentrer dans ta petite tête. C’est alors que tu ressens des décharges d’énergie, invisibles mais qui sont pourtant bien là. Aucun geste de sa part, tu n’as rien vu venir. Pourtant, un frisson te parcourt de la tête au pied et une grimace s’affiche sur son visage. Une blessure dont tu ne te serais pas aperçue ? Tu es immobilisée et tu sens la totalité de tes muscles se crispe sous les petites impulsions générées. In capable de parler, incapable de bouger, cela pourrait ressembler à une exécution sommaire et sans bavure. Tu ne sens pas son aura agité pourtant et il paraît très calme devant toi. Bien que l’adjectif « calme » ne soit jamais réellement adapté pour cet adepte de la souffrance et de la douleur. Grimace bloquée sur ton visage, visible par ton maître. Il lit en toi comme dans un livre ouvert, il sait maintenant que tu as une blessure quelque part. Tu dois patienter, les muscles finiront par relâcher. Des picotements se font sentir, tu as l’impression de terminer d’une très longue séance d’entraînement. Toute cette pression sur les muscles, tu te demandais si ces derniers n’allaient pas imploser de l’intérieur. Douleur silencieuse, fourmillements désagréables, tu n’as jamais aimé ce réveil provoqué de tes muscles qui finissent par se relâcher pour ton plus grand soulagement. Machinalement, tu descends ta main gauche sur le lieu où tu penses que cette blessure se cache. Mais dès que ta main passe dessus, tu sursautes et tu serres les dents. C’est encore très vif, surtout depuis que ton maître t’a transmis son rappel à l’ordre, son éternel avertissement. Tu souffles avant de relever les yeux vers ton maître. Ton regard croise le sien, il sait. Ta bouche devient pâteuse et tu prends une inspiration pour lui répondre et ce, après plusieurs minutes de silence provoqués.

« — Tant que ces vers seront capables de m’enivrer de souffrance, je ne les lâcherais pas. De plus, il ne faut jamais ignorer un nuisible, car il pullule à la vitesse de la lumière… »

Tu inclines ta tête avant de te diriger vers un miroir. Tu venais de penser aux rat-womp ne disant cela. Et encore, tu as quand même un peu plus de respect pour ces animaux que pour la vermine que tu exécutes pour le Bureau de Sécurité Impérial. Et puis, cela te permet de t’entraîner, de préserver tes facultés et non pas de les étaler ou même de te bercer sur eux. Une fois devant le miroir, tu t’aperçois de ton visage fatigué avant de te tourner à la recherche de quelque chose. Après une minute ou deux, tu finis par trouver ce qui t’avait échappé. Une blessure se trouvait là, derrière ta cuisse et tu te demandes comment ta cible avait fait pour te blesser sans que tu ne le réalises. Étais-tu tellement obsédée que cela t'es sorti de la tête ? En apparence, elle ne semble pas grave, mais tu ne laisses jamais une blessure comme ça. Tu ressens quand même que c’est encore vif à proximité de cette dernière. Tu marches dans ton petit studio tranquille pour récupérer ce dont tu as besoin.

« — Serait-ce déplacé de ma part de vous demander l’honneur de votre présence en ce lieu, mon maître ? Puis-je vous servir une boisson ? »

Tu sais qu’il se déplace rarement et en général, c’est qu’il y a une excellente raison. Tu ne prends même pas la peine de te nettoyer le visage en sachant que ta blessure devait être soignée en priorité. Mais peut-être, nettoyer la plaie serait aussi important. Tu n’étais pas riche, mais tu avais quand même de quoi accueillir quelqu’un. Tu ne cherches à empoisonner personne, tu ne prévois pas encore de tuer ton maître…

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Beren exulte. S'il ne portait pas un masque, on pourrait voir un sourire mauvais s'étendre sur son visage, rictus triomphant de sa position dominatrice sur son apprentie. Alors que ses éclairs secouent son élève, il peut ressentir chaque once de douleur infligée au travers de la Force. Beren se repaît de cette affliction depuis de longues années déjà. Pire, il s'en délecte. Que la douleur soit sienne ou qu'il l'inflige, elle nourrit son être à chaque instant.

Il peut sentir les chairs et les muscles de son apprentie se contracter sous l'effet des impulsions électriques, les battements de son cœur s'accélérer à mesure que ses foudres dardent de toutes parts le corps si frêle de Navi. Telle une mélodie à son oreille. La grimace sur le visage de la jeune Sith le ravit, une leçon qu'elle n'oubliera pas de sitôt. Pourtant, l'apprentie a cette irritante tendance à oublier les enseignements, brutaux et sadiques, prodigués par Beren. Un rappel ne fait donc pas de mal. Beren prolonge la punition, appuie là où ça fait mal. Il a détecté une blessure cachée sur la carnation de Navi. Puis, finalement, il la libère de cette torture et se détourne une nouvelle fois. Quelques paroles essoufflées passent les lèvres de l'apprentie. Beren est satisfait.

— Bien, très bien, dit-il de sa voix mécanique, la regardant s'éloigner. Tu es tenace, mon apprentie, c'est bien. N'oublie pas que la souffrance est un mal nécessaire, qu'on la reçoive ou qu'on l'inflige, continue-t-il tandis que Navi déambule dans l'appartement.

Elle lui propose un rafraîchissement, il souffle, narquois. La tranquillité apparente de son apprentie finit par le courroucer. Elle semble déjà avoir oublié la leçon infligée, se vautre dans un confort qu'il exècre. Beren grogne, la foudroie de son regard dur et froid. Elle n'est pas encore une Sith. Il ne prend même pas la peine de répondre à l'invitation. — Malheureusement, je n'ai pas encore trouvé de défi à ta hauteur, répond-t-il. En réalité, il avait bien un endroit éminemment dangereux où l'envoyer, mais elle ne méritait pas cet honneur. Un jour peut-être. Il poursuit, avant de se reprendre. J'ai... L'Empire a besoin de toi pour une mission, disons, diplomatique. Si j'en juge par le confort dont tu jouis, nul doute que tu sois toute désignée pour cette tâche, crache-t-il ses mots emplis d'un venin méprisant.



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En réalité, tu es une fausse calme. Tu peux te garder une certaine apparence calme, mais lorsqu’il s’agit d’user de tes compétences, tu laisses tout ce que tu enfermes pour transmettre le plus de douleur possible. Tu es une apprentie Sith, tu apprends ce qu’est la douleur, la souffrance. Et cela sera ta motivation. Depuis que tu es son apprentie, il te montre toutes ses formes et tu acceptes cette dernière en ton sein. Cela fait mal, mais c’est dans la douleur que tu apprendras à la surmonter, à te servir d’elle comme d’une amie éternelle, d’une alliée. Durant la période où ton maître te met à l’amende, tu serres les dents, tu grimaces et tu lâches un léger cri de douleur lorsqu’il se montre insistant sur la blessure que tu n’avais pas sentie. Jusqu’à maintenant en tous cas. Lorsqu’il y met fin, tu sembles fébrile un léger temps et tu ressens le besoin de t’accrocher quelque part. Ta respiration est forte, tu transpires un peu et tu lâches un soupir de soulagement le plus discrètement possible. Ton maître n’a jamais hésité à te remettre à ta place et tu sais qu’il sera toujours là pour te recadrer, te rappeler que tu n’es qu’un grain de sable dans l’immensité de l’Ordre. Jamais tu ne remettras en question ce qu’il t’enseigne. Tu avais dit ce que tu devais lui dire et tu t’éloignes pour faire ce qui devait être fait. Tu l’écoutes néanmoins.

« — Je ne l’oublierais pas, mon maître ! »

Tu ne dois jamais l’oublier. Si cela venait à arriver alors, il sera toujours là pour te le rappeler et il se donnera à cœur joie de t’imposer la piqûre de rappel. Tu inclines ta tête en guise de soumission et de respect de ta parole. Tu n’es pas du genre à oublier quoi que ce soit. Pour le moment, tu parais calme, mais cela ne veut pas dire que tu le seras sur le champ de bataille. Pas ton genre. Par ailleurs, tu aimes te montrer sadique à souhait durant tes missions. Tuer sous les yeux d’une famille, cela ne te fait pas peur et cela pourrait t’arriver à un moment donné dans ta carrière. Tu respectes ton maître. Pour ce qu’il fut, ce qu’il est et ce qu’il sera dans l’avenir. Tu as déjà un passé commun avec lui, mais se plonger dans le passé n’est pas ton trip et encore moins ton maître. Tu lui es loyale et tu le sers avec la même ferveur que tu sers l’Ordre et l’Empire. C’est ça qui est le plus important. Cela fait très longtemps que tu as appris ce qu’était la loyauté et le fait de servir.

« — Il ne s’agit là que les remerciements de l’Empire pour mes bons et loyaux services. Et il me faut bien un pied-à-terre pour pouvoir continuer à intervenir dans les affaires du BSI… »

Tu parles de tes années comme purgetrooper. Il est clair que l’Empire sait remercier ceux qui le servent avec honneur. En soi, c’est un truc de taille d’un studio. Mais cela te convient, tu ne demandes rien, mais il te fallait un pied-à-terre. Les affaires du BSI ? Vraiment ? Ce bureau de malheur ne t’intéresse que pour le travail que cela t’apporte. Tout le monde sait qu’il vaut mieux être ami avec ce bureau qu’ennemi. Tu le vois bien puisque tu traques des traîtres à leur demande. Et tu ne te plains pas de cette situation. Comme tu l’as dit à ton maître, la vermine se reproduit à la vitesse de la lumière alors parfois, il faut savoir traiter le problème dans l’œuf. Il t’avoue que lui puis l’Empire a besoin de toi. Tu hoches la tête avant de l’inviter à continuer.

« — Je suis au service de l’Empire et de l’Ordre ! Pouvez-vous me donner les détails ? »

Plus que jamais, l’Empire et ton maître ont besoin de toi. Tu te montres alors très sérieuse et tu es un peu excitée. Tu aimes partir en mission. Tu aimes le terrain, cela te permet de voir beaucoup de chose de tes propres yeux et donc d’apprendre. Tu finis par venir t’asseoir et de poser les mains sur tes cuisses afin de lui prêter tout l’attention qu’il mérite. Cette position veut aussi montrer que tu es prête à écouter ce qu’il a dire. Tu n’as pas le droit de le négliger, surtout lorsque ce dernier te donne une mission au nom de l’Empire, au nom de l’Ordre et peut-être même en son nom.

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